Parachath Tsav : Entre froideur et ferveur
Amalek, le Mal suprême est au cœur de ce chabbath qui porte aussi le nom de « Chabbath Za’hor », le chabbath du souvenir. Celui du mal que nous a fait Amalek (1). Mais si l’agencement du calendrier a réuni la parachath Tsav et le récit relatif à Amalek, c’est peut-être parce que notre paracha est en mesure d’éradiquer cet ennemi.