Celles d'Israël et des territoires palestiniens diffusées par l'application de navigation Google Earth captées par des satellites américains. Il y a une dizaine de jours, le bureau américain des affaires réglementaires de la télédétection commerciale a décidé de modifier ses règles. Et d'autoriser la vente de photos haute-définition d'Israël et des territoires palestiniens. Et ce en dépit d'une ancienne régulation américaine, en vigueur depuis 1997, qui prévoit que les photos satellites d'Israël et des territoires vendues à des services tel que Google Earth ne devaient pas montrer des objets d'une taille inférieure à deux mètres. Aujourd'hui les américains ont décidé d'autoriser des prises de vues jusqu'à 40 cm. Sans avoir ni consulté ni prévenue Jérusalem. Ce que craint Israël est que ces images soient utilisées par ses ennemis, le Hezbollah ou le Hamas, pour localiser les éventuels objectifs sur lesquels tirer leurs missiles. Le sujet est sur la table du Ministère de la Défense mais pourrait aussi passer sur celui de la diplomatie